Patrimoine La Grigonnais

Patrimoine religieux

1 Eglise Saint-Victor Architecture, 2 Eglise St Victor Mobilier, 3 Eglise St Victor Mobilier, 4 Croix remarquables.

1 Eglise Saint-Victor Architecture

La construction de l’église débuta en décembre 1859 pour une ouverture officielle le 21 septembre 1862.

L’église St Victor a été construite en pierre de Nozay et tuffeau avec comme entrepreneur Monsieur Gilard.

De style néogothique, cette église en forme de croix latine possède des harpes de murs et des entourages d’ouvertures en tuffeau.

Du fait de l’absence initiale de cloches, les offices étaient annoncés par une clochette que l’on agitait à la main.

Le 9 juin 1876, le Conseil Paroissial décide de la construction du clocher.

2 Eglise St Victor Mobilier

Les six vitraux de la nef réalisés en 1890 par le Maître-Verrier Meuret,  évoquent 42 scènes de l’Ancien Testament. Cette iconographie reprend, notamment, des thèmes directement liés à la libération d’Israël par le roi perse Cyrus.(20) (64)

Le Christ , sculpté en 1946 par Henri Wagner, de Nozay, pour la famille Malo de la Grigonnais, était initialement placé sur un calvaire.

Les intempéries l’ayant abîmé, il a été réparé et abrité dans l’église.

Le maître autel est orné de cinq statues en bois polychrome, sculptées par J.-P. Fréour, représentant les saints patrons des cinq frairies de la Grigonnais, parmi lesquels saint Victor, patron de la paroisse et ermite de Campbon au VIe siècle, St Ruellin, patron de la frairie de Licouët, et évêque de Tréguier et Saint Bily, patron de la frairie de Carheil, martyrisé par les Normands dans la première moitié du Xe siècle. (20) (64)

Visite sur autorisation de la cure. (64)

3 Eglise St Victor Mobilier

Cette église abrite une galerie de statuettes de saints, classée le 26 août 1962 à l’Inventaire des Monuments Historiques. (64)

Posées sur les boiseries de chêne du cœur de style néogothique, ces statues représentent notamment St Vincent de Paul, Saint Rogatien et Donatien, .Saint Clair et Saint Félix de Nantes, Saint François d’ Assise …(20)(53)

Les 28 statues, en plâtre polychrome, posées sur les boiseries du chœur, datent de 1879  (50)

De style néogothique, classée également, la chaire à prêcher, œuvre en chêne des établissements Barranger, est ornée de seize statues polychrome, réalisées par les établissements Barbier de Nantes. (20) (64) (voir photo)

Elles représentent, notamment, les apôtres et les évangélistes. (20)

4 Croix remarquables

Sur le socle de cette croix pattée, de schiste, réalisée en 1864, un cadre vitré contient des photographies en médaillon des soldats de la commune morts lors de la Première Guerre mondiale.

Le Sculpteur de cette autre croix en schiste  de 1843 est Jean Perraud. Ouvragée, avec une petite niche dans le fût pour recevoir une statue, cette croix est ornée d’un Christ sculpté dans la masse.

Elle est l’une des 35 croix réparties sur le territoire de la commune.

Maisons et châteaux

5 Ancien Presbytère Mairie, 6 Maison de Caractère (Bédodu), 2 Maison de Caractère (Cran)

5 Ancien Presbytère Mairie

A l’origine, La Grigonnais était un ancien hameau de la Paroisse de Vay dont il ne restait que quelques traces.

Dans l’année 1856, Monsieur MÉREL, prêtre de la paroisse de Vay, né à La Brunelais, y fit bâtir une petite maison de fermier. C’est après son arrivée sur La Grigonnais (en 1859) que germa l’idée de création d’une paroisse. Après la construction de l’église, inaugurée en 1862, la maison mise à disposition par l’Abbé MÉREL devint le presbytère de la paroisse en 1863. La maison de l’Abbé MÉREL n’est pas appropriée aux besoins d’une cure, Le nouveau presbytère fut construit  en 1875, il est devenu la Mairie actuelle.

6 Maison de Caractère (Bédodu)

Le Manoir de Bédodu remonterait au début du XVIe siècle, il était construit en quartz et schiste.

Un acte notarié du 28 novembre 1686 mentionne les propriétaires de l’époque : Anne Mérel veuve de François Fresche sieur de Bedodu. La découverte d’ossements humains par un cultivateur dans les années 1930 confirme la thèse selon laquelle des émigrés se seraient fait tuer à cet endroit en voulant fuir  pendant la Révolution.

Deux supports de cheminée sculptés en têtes de bélier et des entrées voutées, désormais bouchées subsistent de l’ancien manoir.

7 Maison de Caractère (Cran)

Cette maison à étage a été construite probablement aux environs de  1610, par la famille Henriet, de la Chesnaie de Cran, de religion protestante, alliée aux Rohan du Château de Blain.

Le seigneur de Rohan afferme des prés à Pierre Henriet, sieur de Cran, et le paye 9 sous par jour et par cheval quand il séjourne à Blain, celui-ci est en 1624, concierge du Château de Blain, il doit aussi nourrir les Daims du Parc.

Henri Henriet, fils ou frère de Pierre, sieur de Cran, est conseiller du roi, maître particulier et juge ordinaire des Eaux et Forêts du Gâvre et du Bas Comté

Industries, Voies de communication

3 Moulin de Beautrait, 4 Sites métallurgiques, 5 Carrières Sable rouge, 6 Ancienne Voie romaine.

3   Moulin de Beautrait

Sur le territoire de la commune de la Grigonnais, on recensait  en 1857 un moulin à vent, le Moulin Bautré qui appartenait à Monsieur Luce.

Une ancienne minoterie de la seconde moitié du XIXe siècle et du XXe siècle, en quartz et schiste a été démolie sur le site de Beautrait.

Succédant à un moulin, cette minoterie a été construite sur un tertre qui portait un nom d’origine bretonne, Bot Rieul, bot signifiant tertre, Rieul étant le saint protecteur de la frairie dont la chapelle se trouvait sur les landes à proximité.

La minoterie a appartenu à la famille Luce, dont l’un des membres, Henri, a été Directeur d’école et commandant dans la Résistance.

Francis Luce fut l’un des acteurs de la transformation de La Grigonnais en commune.

4 Sites métallurgiques

Près des fermes de Boisdun et du Fayel, les paysans ont détruits de « petites constructions circulaires » (diam. 1,50 m) en briques dans lesquelles L. Maître  en 1893 voit des fours pour traiter le minerai de fer (non datés).

« Les cultivateurs de Boisdun et du Fayel se rappellent parfaitement qu’en défrichant leurs landes, ils ont démoli de petites constructions circulaires de 1 m. 30 de diamètre, si remplies de briques bordées et brûlées, qu’ils sont convaincus d’avoir découvert des fours.

Leur impression se traduit de la même manière partout où ils renversent des creusets ou des forges ; ils répètent également la même formule : « Nous avons démoli deux ou trois fours. »

Dès la fin du XIXe siècle, donc, l’historien Léon Maître et l’ingénieur des mines Louis Davy furent les premiers à s’intéresser à la longue histoire de la métallurgie du fer en Bretagne. Les anciennes mentions de vestiges de fours attribués à l’époque gallo-romaine sont nombreuses, et Léon Maître a en outre avancé l’hypothèse que beaucoup de ces ateliers étaient sommairement fortifiés.

Cependant rien n’indique que les Châtelliers, s’ils ont effectivement été des ateliers fortifiés n’aient pas été utilisés après le Ve siècle.

5 Carrières Sable rouge

Les sables rouges pliocènes sont des sables marins homogènes et  de grains de même taille, fins à moyens, contenant une proportion notable de grains émoussés luisant, souvent mal ou pas stratifiés : leur teinte est normalement jaune, mais ils sont fréquemment rubéfiés à leur partie supérieure. (6)

La puissance des dépôts pliocènes est variable et liée à l’irrégularité naturelle de la série aussi bien qu’à l’érosion : de moins d’un mètre à 15 m à la butte de Cran. (6)

Un faciès sablo-graveleux correspond le plus souvent à la parie inférieure des « Sables rouges » : cependant, il pourrait également s’agir d’un faciès latéral de ces sables. On observe en effet localement un enrichissement des sables rouges en éléments grossiers de quartz, de  grès ou de quartzites altérés et roulés. Dans ce cas les lentilles sableuses s’intercalent dans ces cailloutis. (6)

Les gisements du Pliocène graveleux, notamment les gisements situés entre Vay et le Gâvre font l’objet d’importantes exploitations. L’épaisseur de la formation varie de 2 à 6 m, en fonction, en particulier, d’accidents tectoniques du substrat. (6)

6 Ancienne Voie romaine

Léon Maître en 1886 évoque cette voie romaine :  « Sur la lande de Clangaran, elle fait séparation entre les paroisses de Vay et de Puceul, et se voyait si distinctement il y a 50 ans, que M. Bizeul a pu mesurer sa largeur, qui n’était pas moindre de 12 m dans l’empierrement, et de 20 m , avec les accotements entre les contre-fossés, largeur exceptionnelle qui la classe dans la catégorie des voies militaires, dites consulaires ou impériales, et qui se retrouve uniquement sur la voie de Blain à Port-Navalo par St Gildas des bois et Férel » 

Des voies romaines sortant de Blain par Louis bizeul, Nantes 1845 :

« Ce qui m’a fait croire que la voie, depuis la fontaine Preslan, servait de limites aux communes de Vay et de Puceul, c’est qu’elle va passer en sortant de la lande de Clan-Garan, entre les villages du Fayet ou Foyet en Vay et l’Hôtel-Ferrant en Puceul.

Elle ne laisse le Fayet qu’à quelques centaines de mètres au nord puis traverse le bout septentrional du bois de Bot-Allard, et coupe aussitôt la grande route de Nantes à Rennes, à peu près à angle droit. »

7 Fours à pain, Puits,…, 8 Hangars, Grange, Palis.

7 Fours à pain, Puits,…

Les fours à pain , éléments quasiment incontournables d’un village ou d’une propriété, ont malheureusement été pour beaucoup délaissés ou détruits depuis de nombreuses décennies.                 

L’habitat traditionnel est, par ses matériaux de construction, le reflet de la géologie locale. Pour les fours à pain, les pierres utilisées dans la maçonnerie sont celles disponibles localement.                 

Dans la région de Nozay, on retrouve le plus souvent des puits carrés à couverture à un seul versant tout à fait typiques de ce pays. Le toit est composé de quelques grandes dalles de schiste appelées aussi palis

8 Hangars, Grange, Palis

Le schiste est aussi utilisé pour des constructions moins imposantes, comme les fours à pain, les fontaines et puits de village, mais aussi les hangars.

Des palis de taille plus moins importante servent alors  pour habiller les murs.

Les plus grand palis (quelquefois longs de quatre mètres) servent également de piliers pour soutenir la charpente.

La partie haute des murs est  souvent bardée de lattes de Bois de châtaignier le plus souvent.

La charpente quant à elle est souvent en bois de chêne.

Environnement

7 Ruisseaux (Grigonnais), 8 Zones humides à Fritillaires, 9 Zones Humides à Lathrées, 9 Étang communal, 10 Relief de la Commune.

7 Ruisseaux (Grigonnais)

On distingue deux bassins versants :

– Celui du ruisseau de Pirudel pour la majorité du territoire,

– Celui de la Blandinais en limite est du territoire.

Pratiquement la totalité du territoire communal est drainé par le ruisseau de Pirudel devenant le ruisseau du Cep affluent rive gauche du ruisseau du Perche qui se jette dans l’Isac en amont de la commune de Blain.

La partie Est du territoire est drainé par le ruisseau de la Blandinais qui matérialise la limite communale avec la commune de Puceul.

8 Zones humides à Fritillaires

La Fritillaire, parfois appelée « Gogane » ou « Œuf de pintade » est une tulipe sauvage typique des zones humides dont elle indique le caractère permanent (non semée ou retournée).

De floraison très précoce (mars et avril) et particulièrement éclatante, avec ses clochettes violines, elle se révèle être un très bon indicateur de la valeur floristique potentielle d’une prairie.

Elle se développe aussi très souvent dans des prairies qui ont un intérêt pour une espèce de faune rare ou menacée, comme le Râle des genêts ou le Tarier des prés. Ces espèces sont un enjeu majeur pour la région Pays de la Loire .

Le nom donné à cette fleur est descriptif puisque « Fritillaria » vient de « Fritillus », soit « cornet pour jeter les dés » en latin, et que « meleagris » signifie « pintade », les pétales tachetés de la Fritillaire rappelant le plumage de l’oiseau.

La floraison de la Fritillaire est précoce. Sous nos latitudes elle débute en moyenne mi-mars et dure environ un mois. Des variations peuvent cependant être observées selon la localisation et le caractère humide des stations.

9 Zones Humides à Lathrées

La Lathrée clandestine est une plante qui pousse de préférence dans les lieux humides, bords de ruisseaux, etc., où elle parasite divers arbres (peupliers, saules, aulnes, chênes ou noisetiers) aux dépens desquels elle se nourrit. Elle n’a ni feuilles ni chlorophylle, et puise sa nourriture dans les racines de ses hôtes grâce à des suçoirs.

L’absence totale de vert indique la nature parasite de l’espèce qui, dépourvue de chlorophylle, se fixe sur les racines de l’hôte pour prélever les nutriments nécessaires à sa croissance. Étant donné qu’elle fleurit et fructifie durant la montée de la sève au printemps, les hôtes ne souffrent que très peu de ce parasitisme.

9 Étang communal

L’étang communal de la Grigonnais a été réalisé à la suite du remembrement de 1982. Les engins de terrassement ont été utilisé pour creuser l’étang à l’emplacement de prés bas alimentés par des sources en contrebas des Buttes du Souchais et d’un ruisseau non classé. Avec une profondeur de 2 mètres au plus bas, celui-ci s’étend sur une superficie de 1Ha 36. En dehors des truites alevinées lors du concours de pêche, le premier dimanche de Mai, on y trouve de la carpe, du brochet, de la tanche et du gardon.

La carpe amour blanc s’avère particulièrement efficace pour le faucardage des herbes aquatiques envahissantes.

10 Relief de la Commune

Le relief de la commune est peu marqué.

La commune se présente comme un plan incliné qui descend de 80 mètres au Nord-Est (La Platrouais) à 24 mètres au Sud-Ouest (L’Etriché).

Le ruisseau du Pirudel traverse la commune en suivant cette pente pour atteindre la pointe Sud-Ouest de la commune (où il devient le ruisseau du Cep).

Le ruisseau de la Blandinais délimite la commune à l’Est. Sa vallée est plus encaissée.

La Partie Sud-Est se présente comme un vaste plateau d’altitude comprise entre 40 et 50 mètres.

 17 Sablières de la Place

Ancienne sablière possédant une flore pionnière remarquable ( 2 espèces protégées : une plante carnivore la Rossolis à feuilles rondes, et une petite fougère aquatique, la Boulette d’eau, abondante au nord de la plus petite sablière et en pleine expansion sur les vases sableuses de la plus grande. Les potentialités de ce site sont importantes au vu de l’évolution probable vers la lande humide et la présence dans des sablières proches de celles-ci, d’ espèces patrimoniales pouvant coloniser le site à moyen ou long terme. Sur le plan faunistique, ce site présente une glande richesse et diversité d’odonates avec 16 espèces s’y reproduisant dont plusieurs taxons rares.

Funéraire, Archéologie

10 Butte du Souchais , 11 Seigneuries (Grigonnais) .

10 Butte du Souchais

La butte du Souchay de Liscouet est un cône appelé le château de Liscouet ou  le château de Tillon. Cette butte principale en forme de cône tronqué mesure 15 m de haut et 36 m de diamètre.

Cela ne peut-être une motte féodale destinée à supporter un donjon en bois ou une tour en pierre, attendu que sa plateforme aujourd’hui nivelée se terminait en pointe.

Le cône est environné non pas d’une ceinture continue de fossés, capable de retenir l’eau à un certain niveau, mais de plusieurs talus très élevés taillés en demi-lune placés sur des cercles différents avec des interruptions.

L’eau n’était donc pas destinée à contribuer à la fortification, elle paraît plutôt avoir été employée pour former des courants et des chutes.

Comment expliquer la présence d’un foyer de 2 m de rayon près d’une rupture des douves, d’un tas de minerai plus loin et d’autres vestiges industriels groupés autour de ce mamelon.

Le fermier assure que sa charrue a découvert des monceaux de de cendre et de charbon en nivelant plusieurs petits tertres qui étaient près de sa maison. Les scories lui ont servi à empierrer les chemins d’accès au Souchay.

La Grigonnais

  Découvrez les ajouts du Patrimoine de la commune de La Grigonnais en Loire-Atlantique décliné  dans six thèmes : Patrimoine religieux; Maisons et Châteaux;  Industrie,voie de communication; Agriculture et artisanat; Environnement, Funéraire et Archéologie.

21 Mobilier Eglise 3

De style néogothique, la chaire à prêcher, œuvre en chêne a été fabriquée par les établissements Barranger de Nantes en 1880. Classée en 1989 par le ministère des affaires culturelles, elle est ornée de seize statues polychromes représentant, notamment, les apôtres et les évangélistes. (20)

Sur la photo, les évangélistes Marc, Jean et Luc, avec respectivement un lion, un aigle et un taureau

Le Christ , sculpté en 1946 par Henri Wagner, de Nozay, pour une famille de La Grigonnais était initialement placé sur un calvaire à La Guillaudais. Les intempéries l’ayant endommagé, il a été réparé et abrité dans l’église.

22 ZNIEFF du ru du Perche

Anciennes sablières en eau progressivement recolonisées par la végétation et zone bocagère constituée de prairies naturelles situées en bordure de petits ruisseaux d’eau courante. Zone présentant une intéressante diversité de formations végétales abritant plusieurs plantes rares ou peu communes.

Intéressante diversité d’odonates dont des espèces de libellules et d’agrions rares ou peu répandues dans notre région. Le cours du ruisseau du Perche, abrite une Ichtyofaune  peu courante (certaines espèces, rares ou peu courantes pour le  département, indiquent une eau de de bonne qualité.

23 Section de commune

Avant 1885, La Grigonnais n’était qu’un modeste village, sur lequel on implanta l’église, en raison de la proximité d’une maison construite par le curé, destinée à devenir la cure de la nouvelle paroisse.

René ORION, juge de paix à Nozay et habitant le logis de « La Rochette » (actuellement le 6 de la Route de l’Océan), bon catholique mais fervent républicain et à ce titre, hardi défenseur de l’école laïque, fut l’instigateur de l’érection de La Grigonnais en section de commune en 1885.

René ORION sera élu Adjoint-spécial de la section de commune en 1885 et battu aux élections de 1904.

24 Fondation de la paroisse

A l’origine, La Grigonnais était un ancien hameau au dessous duquel, en 1856, l’abbé MÉREL, prêtre de la paroisse de Vay, fit bâtir une petite maison de fermier (Cuisine du restaurant scolaire). Après son arrivée, en 1859, germa l’idée de création d’une paroisse. Le lieu d’implantation de l’église, du fait de la proximité de la maison de l’Abbé MÉREL destinée à devenir la cure, se fit en juillet 1859 pour « Les bois de La Grigonnais ». L’église est officiellement ouverte en 1862. La paroisse fut créée officiellement le 30 décembre 1863 par un décret impérial de Napoléon III et de Monseigneur JACQUEMET, évêque de Nantes.

Bibliographie (Patrimoine de la Grigonnais)

1 Le Patrimoine des communes de la Loire-Atlantique – 2 Volumes – Collectif – Editions Flohic 1999  Canton de Nozay Commune de la Grigonnais

2         Dictionnaire des lieux habités de Loire-Inférieure 1857 Pinson Vay

3         « Les Villes disparues de Loire-inférieure » Léon Maître 1886-1893           pages 330-331            http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k141550p/f351.image

4 Michel Provost            Carte archéologique de la Gaule Loire-Atlantique 1988

5 Les Forges du Pays de Châteaubriant 1984 Cahier de l’Inventaire

6 Notice de la carte géologique au 1/50 000 de Nozay BRGM 1988

7 « Les Villes disparues de Loire-inférieure » Léon Maître 1886 Chapitre VIII Les Voies romaines rayonnent autour de Blain pp 332, 333, 334

http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k141550p/f355.image

8   « Voie romaine de Blain à Angers » p 103-120 dans ..« Des Voies romaines sortant de Blain (Loire-Inférieure) » par Louis Bizeul

http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k8524167/f109.image

9 Rapport de présentation du POS de la Grigonnais

10 Fritillaire http://files.biolovision.net/www.faune-loire-atlantique.org/userfiles/Spatules/Spatule13/4-DORTELF.LPO442010.LaFritillaireFritillariameleargisouGoganeenLoire-Atlantique-Bilandesrechercheseffectuesen2008et2009.pdf

11 Lathrées https://fr.wikipedia.org/wiki/Lathraea_clandestina

12 infoBretagne Grigonnais http://www.infobretagne.com/grigonnais.htm

13 site officiel de la commune de la Grigonnais https://www.lagrigonnais.fr/

14 Association Gourguenez

15 Ancien site de l’Office de Tourisme de Nozay

16 Croix et Calvaires de Bretagne J. Gauthier (extraits) http://www.tresorsdupaysdechateaubriant.fr/349158116

17 Louis Bizeul

18 Fours à pain Martigné Ferchaud http://www.ville-martigneferchaud.fr/FCKeditor/UserFiles/File/LIVRET_DU_PETIT_PATRIMOINE.pdf

19 Site web de François Kammerer :  http://www.nozay44.com/les-puits.html

20 Hangars : https://www.asphan.fr/le-patrimoine/

21 Ruisseaux : https://www.lagrigonnais.fr/IMG/pdf/rapport_de_presentation_octobre_2018.pdf

22 ZNIEFF Sablières de la Place : https://inpn.mnhn.fr/zone/znieff/520016269

23 Etang : Source Mairie La Grigonnais

24 ZNIEFF du Ruisseau du Perche : https://inpn.mnhn.fr/zone/znieff/520120036/tab/commentaires

25 Eglise de la Grigonnais Robert Verger 6 pages dactylographiées Journée du Patrimoine 1995

26 Rapport de Présentation du PLU de la Grigonnais 2019 https://www.lagrigonnais.fr/Rapport-definitif-du-commissaire