Patrimoine Treffieux

Découvrez les fiches du Patrimoine de la commune de Treffieux en Loire-Atlantique décliné dans  six thèmes : Patrimoine religieux; Maisons et Châteaux;  Industrie, voies de communication; Agriculture et artisanat; Environnement; Funéraire et Archéologie.

Les textes présents dans les commentaires des fiches sont extraits d’ouvrages, documents et articles dont on peut retrouver la source  (grâce aux numéros présents à la suite du nom de la commune sur chaque fiche) dans  la  « bibliographie » en bas de page.

Patrimoine religieux

1 Église St Grégoire, 1 Croix de schiste, 2 Chapelle de la Fleuriais, 3 Croix de schiste du bourg.

1 Église St Grégoire

À l’arrivée du recteur Huet, en 1753, l’église est en très mauvais état; les Cahiers de Doléances de Treffieux se plaignent du fait que le curé ne perçoive que la portion congrue, provenant uniquement de la perception de la Dîme. L’ancienne église entourée du cimetière portait la marque des suzerains de la paroisse, les Barons de Châteaubriant-Derval, qui y avaient des sièges, des enfeus, ainsi que leurs armoiries peintes.

L’édifice est démoli vers 1880 et laisse place à l’actuelle église dont l’architecture s’inspire du style gothique.

Le clocher est entouré de quatre clochetons ajourés, ce qui inspire le dicton selon lequel Treffieux possède une église avec cinq clochers, dont quatre n’ont pas de cloches.

1 Croix de schiste

Ce type de croix est un exemple des croix de chemin visibles à Treffieux. La commune en possède près d’une quinzaine, témoin de la ferveur religieuse et de l’emprise du clergé, notamment au XIXe siècle.

2 Chapelle de la Fleuriais

Le Domaine de la Fleuriais, à l’abri des inondations, surplombant un méandre de la rivière, était le lieu de résidence de la plus importante famille de Treffieux, les de Vay. Au moyen-âge final, l’on ne compte pas moins de 9 petits fiefs sur la paroisse. Une famille, les Vay, seigneurs de la Fleuriais, finit par en posséder l’ensemble jusqu’à la révolution française. Leur mémoire est conservée à travers leur blason qui est devenu celui de la commune.

Marie Gédéon Louis Pierre Henri de Vay, peut s’échapper de Versailles, mais il est arrêté sur ses terres et exécuté à Nantes sous la Terreur. Par la suite, la propriété est peu à peu démantelée.

Cette chapelle privée servait également  de lieu de culte pour les habitants du sud de la paroisse lorsque la rivière débordait et que le pont était impraticable.

Elle n’abrite la sépulture d’aucun des membres de la famille de Vay, ceux-ci étant enterrés dans l’église paroissiale, où la famille avait droit d’enfeu par autorisation des suzerains. Jusqu’aux années 1960, cette chapelle est restée un lieu de pèlerinage, le jour de la Sainte Anne.

On y présentait les enfants.

3 Croix de schiste du bourg

Cette croix pattée du XVIIIe siècle, au très long fût, à l’allure d’un calvaire.

Située dans le bourg, elle repose sur un socle de schiste à l’entablement mouluré et tranche par son travail soigné avec d’autres croix de chemin.

Maisons et châteaux

2 Château de Bégly, 3 Maisons de caractère,

2 Château de Bégly

Lors du démantèlement de la Propriété des de Vay après la Révolution, le manoir de la Fleuriais est acheté par les Bouteiller, puis par les Carmickaël, qui, au vu de la vétusté des bâtiments, préfèrent construire un nouveau logis, le Château de Bégly.

Avec son nom d’origine anglaise, il s’inspire des demeures du sud de l’Angleterre.

Ce bâtiment est coiffé d’une petite tourelle, sorte de beffroi carré. Le château est cubique et le jardin entouré d’un mur est circulaire et comprend un bosquet triangulaire.

Le Domaine du Bois d’Inde, étymologiquement le bois au tilleul, appartient à la veille de la Révolution, en bien propre, à Louis Joseph de Bourbon, prince de Condé.

Il alimente en bois La  Forge Neuve de Moisdon.

3 Maisons de caractère

Les hameaux de la Boulaie et de la Maclais ont longtemps constitué le cœur de la paroisse.

La Maclais était un très petit fief, intégré dans le domaine de la Fleurais.

Son blason était une fleur de macle, plante aquatique à fleurs blanches, dont le fruit à quatre cornes épineuses est appelé châtaigne d’eau.

La chapelle disparue de la Maclais avait son fonctionnement assuré par un legs fait par le recteur de Mésanger, gagé sur les revenus de la métairie de la Guinguenais.

De nombreuses longères témoignent  ainsi de l’importance de l’agriculture passée.

Industries, Voies de communication

4 Anciens Moulins , 5 Pont d’Inde , 5 Autres ponts, 6 Barrage de la Fleuriais,

4 Anciens Moulins

En dehors de l’unique moulin à eau de la Fleuriais, il existe, au moins depuis le début du XVIIIe siècle, des moulins à vent sur la commune de Treffieux.

Les meuniers doivent alors par coutume, servir les curés avant tout autre habitant du village, après que « la poche engrainée est moulue ». Ne respectant pas souvent cette obligation, le meunier Bonhomme est condamné au XVIIIe siècle pour l’exemple.

Le Moulin de la Clé des Bois a perdu ses vergues, et à ses côtés la minoterie est désaffectée.

Sur le Don, les moulins situés à la Pile et aux fourcherais, près de la Morlais, seraient à piler des écorces de chêne et de châtaignier.

Le Tanin recueilli était envoyé aux tanneries de Châteaubriant.

5  Pont d’Inde

Enjambant le Sauzignac, ce pont marque la limite entre Treffieux, Abbaretz et Nozay.

Il possède une seule arche avec une voûte en larges blocs de pierre bleue.

Deux petits trottoirs latéraux permettent de traverser.

La légende dit qu’il menait à l’ancienne ville d’Inde, jadis cité prospère, engloutie dans les eaux dormantes de l’étang de Gruellau.

Formé par le ruisseau de Paradel et de la Deneuzerie, le Sauzignac conflue avec le Don près de Cardunel en Nozay.

5  Autres ponts

Jusqu’à la construction de ce pont, le passage du Don sur la paroisse de Treffieux, ne pouvait se faire que par le pont en bois de la Fleuriais.

Situé sur le chemin de Châteaubriant, il était privé, et seul le seigneur y avait accès.

Mal entretenu, trop bas, il était l’objet d’innombrables plaintes de la part des habitants du sud de la commune.

Son entretien était l’une des Doléances des Treffiolais en 1789 « Monseigneur le Prince de Condé devrait mieux entretenir le pont au dessus du bourg. »

En période calme, le Don se franchissait aussi par le gué du Fresne et par celui du chemin de Châteaubriant.

Le pont actuel du bourg est construit avec la route départementale N°1, qui relie Nort à Bain-de-Bretagne sous le Second-Empire.

6 Barrage de la Fleuriais

Agriculture, Artisanat, Commerce, Vie publique

6 Fours à Pain, Puits, 7 Hangars, Grange, Palis, 7 Collection d’instruments aratoires , 8 Fours à Pain, Puits, …, 9 Hangars, Grange, Palis, 10 Auges, Timbres.

6 Fours à Pain, Puits,

Proche du moulin seigneurial de la Chaussée de la Fleuriais, ce four à pain, près du village du Chesnel, était peut-être à ban, dépendant des de Vay.

Isolé des habitations voisines, il était probablement utilisé par plusieurs familles, voire plusieurs hameaux.

La construction en cul de four, surmontée d’une demi coupole, est en moellons de schiste, et à l’intérieur en brique réfractaire.

7 Hangars, Grange, Palis

7 Collection d’instruments aratoires

CICPR (Centre International de Culture Paysanne et Rural) La Mulnais

Il possède une importante collection de matériel agricole de l’époque de la traction animale. Visites possibles sur rendez-vous

8 Fours à Pain, Puits, …

Le puits dit de « la sucrerie » était utilisé par les gens du village. Sur une petite colline, entre la vallée du Don au sud et le ruisseau du Touillonnais au nord, le bourg de Treffieux, exempt de toute eau vive, était dépendant de ses puits.

Celui-ci possédait encore sa margelle, usée par le passage d’innombrables seaux.
Deux puits étaient situés près de l’église et autrefois au carrefour près de la vieille cure.

9 Hangars, Grange, Palis

Si les habitations utilisent le schiste sous toutes ses formes, les dépendances agricoles, les objets usuels de la vie paysanne ainsi que les palissades ou « haies de palis » utilisent en abondance la pierre locale. Hangars, fours à pain, auges, timbres, en sont le témoignage

10 Auges, Timbres

Environnement

8 Étang de Gruellau, 9 Point culminant , 11 Vallée du Don.

8 Étang de Gruellau

Entre la rivière du Don et le ruisseau de Sauzignac, une vaste zone dépressionnaire abrite un étang naturel alimenté par des sources et des eaux pluviales. Il correspond à un effondrement de tourbières et est entouré de landes dites secondaires.

Mentionné dès l’époque romaine, il appartient au Moyen Age à la famille de Vay de la Fleuriais et occupe à cette époque une superficie de 15 hectares. Vers 1820, les Carmickaël l’acquièrent et l’intègrent au domaine du Bois-d’Inde. Après la première guerre mondiale, Louis Herbert, propriétaire de la Blanchardière (Nozay) l’achète. Il y construit l’actuelle chaussée ainsi qu’un pavillon de bois et de pierre.

L’étang de Gruellau et ses abords appartiennent aujourd’hui à la commune. Ce site est devenu un vaste espace naturel d’une cinquantaine d’hectares. L’étang demeure un lieu de passage pour les oiseaux migrateurs et un lieu d’habitat pour les oiseaux sédentaires. Des postes d’observation sont installés autour de l’étang. Au cours de l’année diverses rencontres sont organisées par la LPO (Ligue de Protection des Oiseaux).

9 Point culminant

La commune est constituée d’un plateau légèrement incliné d’Est (50 m à la Grionnais) en Ouest (25 m NGF au Point du Jour)

Le Don, affluent de Vilaine, traverse la commune dans sa partie centrale également d’Est en Ouest en décrivant de larges méandres dus à la faible déclivité.

Ce relief plat ne facilite pas les écoulements de surface.

Le réseau hydrographique naturel est peu important et se limite, en dehors du Don, à quelques ruisseaux au cours intermittent.

Le sud de la commune est occupé par une large dépression occupée par l’étang de Gruellau.

Le sous-sol, généralement imperméable, associé au faible relief, donne des sols limoneux et hydromorphes, propices aux cultures fourragères.

11 Vallée du Don

Funéraire, Archéologie

11 Haches en pierre polie, 12 Trésor monétaire , 12 Enclos (Védiais, …), 13 Menhir de la Bazinais, 14 Légende Ville d’Inde.

11 Haches en pierre polie

Deux haches en pierre polie (l’une en fibrolithe, l’autre en silex charentais) ont été découvertes au nord de la commune il y a quelques années. 

12 Trésor monétaire

Comme les 36 trésors mis au jour dans le quart nord-ouest de la Gaule et certaines régions côtières de Grande-Bretagne clos après 270, le trésor de Treffieux, comme celui  de Tourouvre publié dans un article,  se caractérise par un terminus constitué de monnaies de Claude II et de Victorin.  Il se compose notamment de 68 exemplaires de Valérien et Gallien (253-260), 379 exemplaires de Gallien seul (260-268), 81 exemplaires de Claude II (266-270), 177 exemplaires de Postume (260-269) et 146 exemplaires de Victorin (269-271). Sans ambiguïté, le trésor de Treffieux corrobore le témoignage d’autres dépôts, quant à la rapidité de pénétration du numéraire italien en Gaule durant les années 260. Le transfert de monnaies italiennes au-delà des Alpes devenait une nécessité. Il aurait servi non seulement à verser la solde aux militaires, mais aussi à résister aux pressions du prince d’Occident. Nombreuses sont les traces de dévastations (incendies, destructions, abandons brutaux) qui ponctuent l’histoire des populations urbaines et rurales de l’Ouest de la Gaule au cours des années 260-270.  Dès lors, dans ce contexte, il ne semble pas absurde d’imaginer que les dépôts clos sous Victorin portent témoignage d’un temps de crise.

12 Enclos (Védiais, …)

La période protohistorique est d’abord signalée par un petit enclos circulaire au domaine de la Védiais. Il serait datable de l’âge du bronze. Par ailleurs, un enclos losangique à large fossé dans le champ des Fontenelles serait daté de l’âge du fer.

13 Menhir de la Bazinais

Les premiers signes de présence humaine sur la commune de Treffieux se situent au néolithique. Les témoins en sont deux menhirs, celui de la Roche piquée (aujourd’hui disparu) et celui de la Bazinais PHOTO1 menhir de la Bazinaisprès du village de Lumien. Ce dernier est une pyramide de grès bleu veiné de quartz. Il mesure 2,50 m de hauteur pour environ 1,25 m de largeur

Le menhir de la Pierre est le plus vieux témoin de l’activité humaine sur le territoire de Treffieux.

Il est situé près de l’emplacement du hameau disparu de la Bazinais.

L’abbé Cotteux, constructeur du calvaire de Louisfert, avec les menhirs du Castelbriantais, n’est pas parvenu à  le transporter.

Ce menhir était le lieu de rassemblement pour les pèlerins de Saint-Julien-de-Vouvantes.

Treffieux

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21 Chapelle de Bégly

La famille Carmickaël construit vers 1820 le château et la chapelle privée;

Bégly est la déformation usuelle de Bailey, nom de la propriété écossaise de la famille Carmickaël, abandonnée deux générations plus tôt à la suite d’une guerre. Carmickaël, le constructeur du château, était marchand drapier à Nantes. Cette chapelle a un clocher-mur en schiste, une nef rectangulaire où sont ménagés un vitrail par mur latéral, un chevet plat auquel s’appente une sacristie sous un toit à deux pans. La chapelle, récemment ravalée, est en très bon état; des messes privées y sont encore dites de temps à autre. 

22 Manoir de la Fleuriais

L’ancien manoir de La Fleuriais appartient, à l’origine, à la famille de Vay, vassal des barons de Derval.  Le dernier descendant, Marie Gédéon Louis Pierre Henry de Vay, est exécuté à Nantes sous la Terreur. Le manoir devient ensuite la propriété successive des familles Bouteiller, Carmickaël de Baiglie et Chanteloup (Roger Plouay de Chanteloup vers 1900).  Ce manoir possédait autrefois des douves alimentées par une dérivation du Don, un étang, une fuie, un moulin et une chapelle privée.  Démoli peu de temps avant la grande guerre, les pierres vont servir à la construction de l’école primaire des garçons Sainte Jeanne d’Arc.

23 Gare Ferroviaire

Le 18 juillet 1879, la décision est prise de relier Châteaubriant à St Nazaire par une voie ferrée. Ces nouvelles lignes à voie unique sont apportées dans le département par le plan Freycinet. Elles sont construites par l’Etat Français et les Ponts et Chaussées. À partir de 1884, l’exploitation de la ligne est confiée à la Cie de l’Ouest qui ouvre le 18 mai 1885 la ligne de Montoir-de-Bretagne à St Vincent des Landes via Blain (73 Km), nommée Ligne St-Nazaire-Châteaubriant. Le 19 mai 1952 marque la fin des trains de voyageurs entre St Nazaire et Châteaubriant, celle de marchandises en 1979 entre Le Gâvre et St-Vincent-des-Landes.

24 Hydrographie

Le système hydrographique de la commune s’articule autour du cours d’eau du Don dont les divers affluents locaux sont en interaction avec 25 zones humides (couvrant un total de 126ha).

Le Don, affluent de Vilaine, traverse la commune dans sa partie centrale également d’Est en Ouest en décrivant de larges méandres dus à la faible déclivité.

Le réseau hydrographique naturel est peu important et se limite, en dehors du Don, à quelques ruisseaux au cours intermittent.

Le sud de la commune est occupé par une large dépression occupée par l’étang de Gruellau.

25 Enclos des Bordeaux

L’enclos curvilinéaire des Bordeaux, d’époque indéterminée. Les enclos circulaires, rattachés à la Protohistoire, présentent dans leur configuration la plus admise un fossé de forme circulaire qui englobe une surface pouvant aller de quelques mètres à plusieurs dizaines de mètres de diamètre.

La terre alors évacuée sert éventuellement à l’édification d’un tertre central et/ou d’un petit talus périphérique, élévation parfois renforcée par la présence d’éléments verticaux, tels que des pieux en bois ou des stèles en pierre.

Ce type de monument est généralement classé comme funéraire.

26 Entités Paysagères

Le territoire communal présente un paysage contrasté entre à la fois des ambiances fermées par des bois et des hameaux intimistes et des ambiances plus ouvertes, relatives aux parcelles cultivées.

§ Un paysage agricole ouvert à semi-ouvert avec des espaces plus ou moins vallonnés à vocation agricole caractérisés par de longues vues dégagées.

§ Une ponctuation de boisements mixtes et de taille variable. Plus ou moins

denses, ces bois limitent certaines vues et constituent des relais visuels dans le paysage ouvert. § Des espaces bâtis anciens plutôt dispersés.

27 Zones Humides

Un inventaire des zones humides a été mené en 2007, sur l’ensemble de la commune. Ainsi, 126 hectares de zones humides ont été recensés sur le territoire communal.

Il existe plusieurs typologies de zones humides différentes sur la commune, dont majoritairement des prairies humides, des prairies à joncs et des plans d’eau.

Les nombreuses zones humides sont à la fois diversifiées et leur densité est à même de présenter des réseaux fonctionnels.  Leur interaction avec le réseau hydrographique, en particulier au niveau des abords du Don et de l’étang de Gruellau, est un facteur important dans leur fonctionnalité écologique.

28 ZNIEFF de Gruellau

Etang artificiel ancien peu profond bordé de boisements divers et de landes humides, présentant d’intéressantes formations végétales, avec certaines plantes d’intérêt patrimonial.

Intéressante diversité faunistique et avifaunistique en particulier avec divers oiseaux nicheurs peu communs.

Site de stationnement d’intérêt départemental pour les oiseaux d’eau au cours des transits migratoire et durant l’hiver.

Un observatoire ornithologique a été mis en place. La gestion de la ripisylve et de la progression des saules, ainsi que la fermeture de la lande humide à éricacées serait à entreprendre.

Bibliographie (Patrimoine de Treffieux)

1         Le Patrimoine des communes de la Loire-Atlantique – 2 Volumes – Collectif – Editions Flohic 1999  Canton de Nozay Commune de Treffieux

2 Brochure Isakédon 2013  (édition limitée)

3 Rapport de Présentation du POS de Treffieux

4 Pierre-Marie Guihard Le trésor double de Tourouvre (Orne) Bijoux et Monnaies de Domitien à Victorin

[PDF]LE TRÉSOR DOUBLE DE TOUROUVRE (DÉP. ORNE)

5 Barrage de la Fleuriais  http://www.journal-la-mee.fr/2679-des-flots-d-encre-sur-le-don.html

6 Site Fédération Départementale Musées Ruraux 44 https://www.patrimoinerural44.fr/

7 Site de La Gacilly : Dépendances http://lagacilly.net.pagesperso-orange.fr/st%20jugon/patrimoine_bati.htm

8 Hangars : https://www.asphan.fr/le-patrimoine/

9 Chauris RAO N°27 2010 Pour une géo-archéologie du Patrimoine http://journals.openedition.org/rao/1384

10 Le Don : https://www.eptb-vilaine.fr/_BDU/20161017092743_Bassin-Don.pdf

11 Haches fibrolithe : Louis Marsille  Bulletin de la Société préhistorique française Année 1920 https://www.persee.fr/doc/bspf_0249-7638_1920_num_17_10_7513

12 Haches polies : https://www.cpieloireanjou.fr/participer/age-de-pierre-haches-de-pierres/

13 Enclos circulaire : https://www.academia.edu/27313492/Les_enclos_circulaires_dans_les_Pays_de_la_Loire_et_dans_le_nord-ouest_de_la_France_dans_PCR_Le_Campaniforme_et_l%C3%A2ge_du_Bronze_dans_les_Pays_de_la_Loire_Rapport_dactivit%C3%A9_2015

14 Chapelle de Bégly http://lafrancedesclochers.clicforum.com/t150-Treffieux-44170.htm

15 Ancien Manoir de la Fleuriais http://www.infobretagne.com/treffieux.htm

16 Les Chemins de fer de Nantes et Châteaubriant à St Nazaire. Deux siècles d’histoire ferroviaire. J.P. Nennig Mars 2005 Guérande JPN éditions

17 Rapport de Présentation du PLU de Treffieux 2019 (consulté Mairie de Treffieux)

18 Histoire et Géographie de la Loire-inférieure 1895 Orieux Eugène, Vincent Justin Vay

19 Enclos circulaires https://www.academia.edu/28813460/Les_enclos_circulaires_dans_le_nord_ouest_de_la_France_Regard_crois%C3%A9_entre_les_monuments_de_Bretagne_et_des_Pays_de_la_Loire_dans_PCR_%C3%89l%C3%A9ments_pour_une_nouvelle_approche_de_l%C3%A2ge_du_Bronze_en_Bretagne_Compte_rendu_dactivit%C3%A9_2015_.pdf